vendredi 7 mai 2010

Citizen Mondo


N'était-ce votre plumage, chère corbeaute
Ou l'indécent ballet de votre ramage
Qui titillent ainsi mes pulsions animales
Je serais parti depuis belle lurette...
Ne pouvant me résoudre à vous compter fleurette
Je vous culbute sauvagement dans les fourrés
Et une fois ma besogne accomplie
Vous laisse choir au milieu des branchages
Encore bouillante du plaisir dont je vous fît cadeau
Avant de partir dans un éclat de rire très karacho...
Arrivederci, amore, ciao.

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